Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (14) : Christine, Ma Femme
Rachid mavait offerte à ses cousins, il était bien décidé à poursuivre ma transformation définitive en «salope intégrale» comme il disait. Cest dailleurs ce que je voulais et Philippe était daccord.
Une nouvelle étape fut franchie grâce à Christine et Jean. On se rappellera quils étaient un couple libertin très en vue dans notre ville. Christine avait été mon témoin lors de notre mariage avec Philippe et avait joué un rôle très important pour me pousser, ce soir si symbolique, à mon premier adultère. Bisexuelle, très portée sur les femmes, elle était depuis ce jour-là frustrée de ne pas mavoir mise dans son lit.
Quelques mois avant ma rechute définitive dans lhypersexualité, le couple avait tenté, avec la complicité active de Philippe, dont Christine navait pas hésité à devenir la maîtresse, de me faire basculer lors dune soirée où jaurais dû appartenir à Jean, avant que les autres invités ne profitent de mon corps. Lopération avait échoué de justesse, du fait dune défaillance inattendue de Jean. Le couple avait très mal vécu cet échec et considérait que je leur devais une réparation.
Christine avait rencontré Rachid pour mettre au point les détails de lopération. Sans me demander mon avis, ni celui de Philippe, car il disposait de moi comme il lentendait. Rachid avait donné son accord. Cétait pour lui loccasion de me faire franchir un nouveau pas.
Lopération se déroula comme prévu en trois temps : je devins la femme de Christine, puis, après une courte « mise à disposition » de Jean, ce fut la soirée de ma première vraie partouze, si lon excepte ce qui sétait passé lors du séjour chez Gianni et Maria (voir mon premier récit) ou à Rio avec mes trois amants brésiliens. Je vais dabord parler de cette journée avec Christine, très importante dans mon parcours saphique, mais qui fut aussi un moment candauliste, pour chacun des protagonistes de cette journée.
Cétait une belle journée de septembre.
Les gens qui me connaissaient ou connaissaient Philippe changeaient de trottoir, le couple des T était définitivement devenu un objet de scandale.
Ce jour-là donc, nous avons rencontré Christine. Ce nétait pas un hasard, je lai su plus tard.
Olga, ma chérie, je suppose que cest Rachid, ton male. Enfin tu as fini par écouter Philippe, qui ne veut que ton bonheur. Il sait ce dont tu as besoin. Laisse-moi te prendre dans mes bras.
Disant cela, elle ne membrassa pas sur les joues, mais sur les lèvres, alors que sa main se posa sur mes seins, puis sur mes fesses.
Je nai jamais autant désiré une femme que toi, Olga.
Moi aussi, Christine, depuis la première fois que je tai vue.
Il ny a pas de problèmes, Christine, Olga est à toi. Allez chez nous, les filles et aimez-vous. Je vous rejoindrai ensuite, car jai envie de mater et ensuite de vous prendre toutes les deux.
Rachid nhésitait plus à dire chez « chez nous », depuis quil sétait installé et quil occupait le lit conjugal.
Bien quimpatientes de nous aimer, nous avons mis un peu de temps à regagner le lieu qui était désormais celui de toutes mes débauches.
Chéri, je suis si heureuse. Je suis avec Olga. Dans quelques instants, je vais faire lamour avec elle. 7 ans que jattends que ça. Je suis heureuse. Je suis amoureuse.
Noublie pas ce que je tai demandé, Christine.
Jen parlerai à Rachid, elle est à lui désormais.
Une fois de plus, je fis scandale dans mon immeuble. Une mère de famille sortit de lascenseur, cet endroit où quelques semaines auparavant jétais devenue la femelle de Rachid, et, offusquée, me vit dans les bras de Christine. Nen pouvant plus, celle-ci avait ouvert mon chemisier et soccupait de titiller la pointe de mes seins avec sa langue, tandis que sa main explorait ma chatte trempée.
Vous pourriez au moins faire vos cochonneries chez vous ! Cest honteux !
Avoue que ça texcite, espèce de frustrée ! Viens me voir quand tu veux, je te montrerai le plaisir quon peut connaître entres femmes.
Nous sommes à peine entrées que je la prends dans mes bras, ma bouche part à la recherche de la sienne. Nous nous embrassons longuement. Mon Dieu que cest bon une langue de femme dans ma bouche. Jarrive à cesser de lembrasser pour la déshabiller lentement. Quel corps splendide, avec ses seins à la pointe bien dressée. Son ventre plat attire mes mains, jaime ses quelques poils sur son bas ventre. Jai eu raison de la vouloir et de vouloir quelle soit désormais ma femme, comme Rachid est devenu mon mâle.
J'étais très excitée et je moffrais à Christine: Christine ma mise une main sous la jupe et m'a caressé les cuisses que j'ai écartées. Elle a trouvé mon sexe et mon bouton qu'elle a branlé. Elle savait par Philippe que j'aime être branlée. Elle m'a demandé de la branler aussi. Nous avions envie une de lautre depuis si longtemps, nous avons joui très vite.
Elle a commencé à me déshabiller et j'étais nue devant elle.
Christine m'a enjambée et j'ai vu sa moule devant ma bouche: je n'ai pas résisté et ai sucé à mon tour son clitoris. Nous avons joui plusieurs fois comme ça. Enfin elle s'est installée presque assise et m'a demandé d'en faire autant. Une de ses jambes est venue sur la mienne et elle m'a demandé d'en faire autant: nos cons étaient très proches l'un de l'autre: elle a frotté le sien contre le mien et elle m'a donné du plaisir, alors j'en ai fait autant et nos cons se caressaient jusqu'à notre dernière jouissance.
Nous nen navions pas fini. Nous ne prêtions pas attention à Rachid, qui était rentré sans faire de bruit et observait, fasciné. Il sétait installé sur le fauteuil sur lequel Philippe matait quand je moffrais à mon mâle. Comme lui, Rachid sétait mis nu et se branlait doucement sans perdre un instant du spectacle torride que nous lui offrions. Il avait envie de nous rejoindre et de nous prendre, mais attendait car savait que nous navions pas fini, non de baiser, mais de nous aimer, car cétait bien deux femmes amoureuses qui étaient dans bras lune de lautre.
Je pris Christine contre moi, lembrassa encore, en la serrant bien contre ma poitrine. Nous sommes à peu de chose près de la même taille. Nos seins se caressaient: je la sentais se donner à moi complètement. Je sentais sur mon pubis ses poils.
Olga, ouiiiiii je taime ! Tu es ma femme désormais !
Moi aussi je taime. Je veux me partager désormais entre toi et Rachid.
Nous sommes bien serrées encore, nos lèvres encore jointes. Je lui caresse les seins: elle adore, veut me rendre la pareille. Elle me touche à peine la poitrine: jai tellement envie quelle pourrait me faire jouir rien quand me caressant. Je la mets en levrette, elle se demande pourquoi. Jai trop envie de lui faire du bien. Je commence par lui lécher un peu le clitoris, le plus bas placé pour linstant. Je peux ainsi la doigter. Jai mis deux doigts dans sa chatte, les fait aller et venir: elle jouit. Pour moi ce nest pas assez: je laisse mes doigts dans la chatte, et mes lèvres toujours sur son clitoris. Pour parachever jentre un doigt dans son anus. Jentre autant quelle peut en supporter: mon doigt entier est en elle. Je lui caresse lintérieur de son anus. Elle a une série dorgasmes ininterrompus qui la laisse inerte un instant.
Elle se met seule sur le dos, me regarde en mendiant encore un baiser. Nos langues sont sorties des bouches elles se caressent dehors.
Je suis insatiable. Je suis bisexuelle, je me sens devenue lesbienne. Je lenjambe pour nous mettre en 69. Je commence par pose mon corps sur le siens, mes seins contre son ventre. Je commence par baisser un tout petit peu la tête pour que ma bouche soit à la hauteur de sa chatte. Je commence par lui lécher toute sa fente, depuis lanus jusquau clitoris. Je mattarde beaucoup sur son bouton.
Je sens quelle aussi pose sa bouche sur mon sexe. Christine prend vite la cadence pour lécher mon vagin et ensuite revenir sur mon bouton. Delle-même elle me rentre deux doigts dans le cul. Je lui en fais autant. Linventeur du plaisir féminin soit béni: nous jouissons longtemps toutes les deux.
Nous faisions lamour depuis le milieu de laprès-midi et depuis un moment, Rachid, mon homme, mon mâle était le témoin de nos plaisirs, sans quil intervienne, sans que nous prêtions même attention à lui. Depuis mon adolescence, depuis on initiation par Maria, jétais bisexuelle. Javais connu (et je ne savais pas que je connaitrais plus tard) de grands moments avec Agun. Mais cest ce jour-là, que jai vraiment découvert le saphisme. Malgré la présence de Rachid, je ne ressentais pas, pour le moment, le besoin dêtre prise. Philippe était mon mari, Rachid mon homme et Christine était désormais ma femme.
Cest à ce moment quarriva un autre témoin de cette journée exceptionnelle, Philippe.
Philippe avait été lamant de Christine, ce qui avait exacerbé ma jalousie, lors de notre mariage, puis plus tard quand, complices, ils avaient voulu moffrir à Jean. Il entra dans cette chambre, pleine de lodeur de notre plaisir, et vit ces deux femmes dont il connaissait le moindre détail de leur anatomie, nues, dans les bras lune de lautre, tandis que Rachid matait, se branlant doucement, en proie à une formidable érection.
Enfin tu arrives. Je nai jamais rien vu daussi beau, cest torride. Elles sont insatiables. Elles saiment depuis des heures. Mais ne tinquiète pas, jai tout filmé pour toi.
Philippe, à son tour, se mit nu et sapprocha de nous.
Cest moi quil embrassa la première.
Oh ma chérie, tu me rends si heureux. Jai toujours rêvé de te voir dans les bras de Christine.
Elle est désormais ma femme, comme je suis à Rachid.
Lui et elle feront de toi la salope intégrale dont je rêve.
Philippe embrassa à son tour Christine. Je nétais plus jalouse et javais envie que mes hommes participent à notre plaisir.
Je fis venir Rachid près de moi. Je voulais montrer à Philippe et Christine combien jétais à lui. Le baiser que nous échangeâmes était tellement torride et mouillé que nous étions emportés par un torrent de plaisir. Nos bouches étaient collées lune à lautre, nos lèvres se comportaient comme des ventouses et saspiraient goulûment, nos dents sentrechoquaient. Ma langue pénétra dans sa bouche pour aller à la recherche de la sienne, qui lattendait de pied ferme. Un temps, elles jouèrent au jeu du chat et de la souris, puis saffrontèrent, lune enroulant lautre et lautre montant sur lune. Nous aspirâmes à tour de rôle toute la salive que nos bouches secrétaient que nous avalâmes avec délectation et volupté. Le baiser dura une éternité et nous mena au bord de l. Son désir grandissait au fur et à mesure que durait le baiser. Son érection était impressionnante. Il avait envie de me prendre.
Nous nous séparâmes à bout de souffle, sans pour autant nous éloigner lun de lautre. Je continuais à me coller contre lui, en frottant mon bas ventre contre le sien. Je sentais le gonflement que faisait son sexe. Je my frottais avec insistance en le tenant par la taille.
Pendant ce temps, Philippe prenait les choses en mains du côté de Christine. Il lui caressait le dos et soccupait directement de sa poitrine et de ses merveilleux seins ; des seins ronds et volumineux dune fermeté étonnante.
Les deux hommes soccupaient en même temps des seins de ces deux femmes qui soffraient totalement, pendant que Christine et moi nous embrassions, Christine aurait préféré les étreintes de Rachid, mais était sincèrement reconnaissante envers Philippe, sans qui rien naurait été possible.
Rachid prit un sein dans une main, avec lintention de lécraser et de lui faire mal. Au contact du sein, sa main ne put quesquisser une légère caresse. De son côté, Philippe se mit à caresser doucement les seins de ma maîtresse en insistant sur les larges tétons violacés et ronds. Elle se mit à frémir et à pousser de tous petits gémissements. Elle aimait être caressée ainsi, en douceur, sur ses tétons.
Quant à Rachid, il se mit à enrouler mes tétons lun après lautre entre trois doigts, tirant de moi des tous petits cris de plaisir rauques, presque inaudibles. Christine me regardait en souriant aux anges.
- Tête-moi ! Lui dis-je.
Il plongea aussitôt ma tête sur ma poitrine et posai sa bouche sur le téton quil était en train de caresser. Il se mit à le lécher un petit moment puis à lintroduire dans sa bouche pour le téter goulûment, comme un bébé affamé. Cétait divin. Philippe et Christine sétaient interrompus dans leurs caresses pour mater, fascinés.
- Caresse-moi lautre sein !
Rachid envoya sa ma main libre vers le deuxième téton quil se mit à malaxer doucement entre ses doigts, tout en continuant la tétée sur lautre sein. Je me mise à ronronner comme une chatte, acceptant les baisers fougueux de Christine et de Philippe.
Christine voulait plus que mater. Nos deux chattes étaient trempées et béantes des plaisirs lesbiens de cette après-midi. Christine avait une superbe poitrine forte, avec de gros seins ronds et fermes. Elle avait un mignon petit ventre qui augmentait, de plusieurs degrés, la sensualité torride qui se dégageait de ce corps nu et offert. Les jambes superbement galbées, légèrement entrouvertes et repliées laissaient apparaître le triangle sombre de son entrecuisse. Philippe, qui était un excellent bouffeur de chattes, voyait apparaître une chatte aux grandes lèvres dodues et ourlées, superbement dessinées, de couleur sombre, contrastant avec la blancheur laiteuse du reste du corps. Il approcha sa ma tête du merveilleux jardin pour en humer le parfum et pour y déposer un léger baiser. Elle ouvrit plus grand ses cuisses pour laisser passer sa tête.
Pour moi, pas question dêtre en reste. Je voulais moi aussi jouir sous la langue de mon homme. Alors que Philippe était déjà entre les cuisses de Christine, je me mis à être directive avec Rachid.
Il ne se fit pas prier pour entreprendre un cunnilingus denfer sur ma chatte. Avec deux doigts, il écarta les grandes lèvres et plongeai sa bouche sur les petites lèvres rouge vif, brillantes de mouille. Sa langue tenta une pénétration à lintérieur, allant à la recherche du clitoris et léchant tout sur son passage. Il fit aller et venir toute sa bouche le long de la fente formée par les grandes lèvres, lançant sa langue à lintérieur du vagin. Il suçait et avalait avec gourmandise le liquide qui en sortait en grande quantité.
Christine et moi étions en train de nous faire bouffer la chatte en même temps. Nos gémissements de plaisir étaient interrompus par les baisers fougueux que nous échangions, nos langues mélangées, nos caresses, les mots damour que nous adressions. Pour ma part, je bougeais les hanches de plus en plus vite, en même temps que jobligeais la tête de Rachid - par la pression de ma main - à suivre un rythme infernal. Je savourais un plaisir intense. Rachid savait ce quil fallait faire pour encore accroître la densité de mon plaisir en faisant participer mon cul. Sa bouche se déplaça vers son anus pour le remplir de salive et le mouiller. Demblée, il introduisit deux doigts et se mit à les faire aller et venir dans le boyau aussi loin quils pouvaient parvenir et à les faire tourner de manière à occuper toute la paroi du rectum.
Oh Philippe, oh Christine, il me tue, cest si bon. Oui, Rachid, fouille ce cul que tu vas prendre. Philippe, fistes Christine, je veux que cette salope jouisse en même que moi !
Je poussais un hurlement rauque de plaisir qui venait du fond de ma gorge, en même temps que jaccentuais le mouvement montant et descendant de mes hanches ainsi que la pression que jexerçais sur sa tête. Christine, de son côté, criait de douleur, puis de plaisir. Je savais par expérience combien mon mari était doué pour fister sa partenaire. Comme je lui avais demandé, il y allait de bon cur, ne ménageant pas celle que nous nous partagions désormais.
Je soulevais mon bassin au maximum et je mimmobilisais quelques secondes. Je pris la main de Christine et la serra très fort. Nous eûmes, lune et lautre, un immense râle qui provenait du fond de nos entrailles. Notre jouissance déferlait. Philippe sortit son avant-bras de la chatte béante de ma maîtresse, dont la cyprine sécoulait. Je mouillais encore plus quelle. Nous avions trempé le lit. Rachid fit signe à Philippe et Christine dapprocher, pour quils viennent boire à ma source de plaisir et recueillir tout ce quils pouvaient. Epuisée, je maffaissais sur le lit pour me reposer un peu et reprendre mon souffle. Jétais encore dans mon plaisir et gardais les yeux fermés, alors que déjà, en me léchant, et en soccupant de mes seins, Philippe et Christine réveillaient mes sens.
Rachid bandait comme un taureau. Javais envie quil me prenne, seule cette saillie pouvait mapaiser, dautant plus quelle se ferait devant mon mari et devant ma maîtresse.
Mais javais en même temps envie de faire un cadeau à Rachid et à Christine. Je voulais quil baise Christine devant moi.
Je comprenais soudain le candaulisme de Philippe, le plaisir quil y a à voir la personne quon aime prendre du plaisir en étant à ses côtés, complice.
Elle est superbe, nest-ce pas ? dis-je à Rachid en désignant Christine du menton. Elle nest pas seulement belle, elle est aussi très sensuelle. Moi jaimerais bien que tu nous baise toutes les deux ensemble ! Je voudrais te voir, Christine, jouir sous les coups de son gros zob ! Jaimerais te voir complètement soumise, hurlant ton plaisir en jouissant comme une chienne ! Je voudrais te voir remplie de son sperme et me demander de létaler sur ta poitrine et de venir te lécher !
Tu veux vraiment ? Ça te plairait ?
Christine voulut lever ses jambes pour que Rachid la tire dans la position allongée sur le dos. Jarrêtais son mouvement en lui demandant de se mettre à quatre pattes pour quil la prenne en levrette.
Elle se mit donc à quatre pattes, les hanches relevées au maximum et la tête enfoncée dans loreiller. Rachid se plaça derrière elle, en me lançant un regard. Je souriais et suivais avec attention. Philippe sétait approché de moi, je lui pris la main et lembrassa, puis jembrassais Christine
Merci ma chérie, me dit-elle.
Tu verras ma Christine, cest un amant exceptionnel
Tu nes pas jalouse ?
Cest une preuve damour que je te donne et ça mexcite de te voir prise par mon homme.
Rachid était au maximum de son érection. Il introduisit le bout du gland entre les grandes lèvres de la chatte de Christine. Le lieu était déjà bien mouillé et la chatte était béante, après le traitement que Philippe lui avait fait subir.
Rachid enfonça sa queue jusquau fond, tirant de ma maîtresse un petit cri de surprise. Elle ne tarda pas à gémir et à pousser des petits cris de plaisir. Elle bougeait ses hanches pour accompagner les va-et-vient du manche dans son vagin et à linviter à y aller plus fort et plus vite. Christine se mit à balancer sa tête dans tous les sens, en des mouvements saccadés quelle narrivait pas à contrôler et à lancer son bassin en arrière, pour pousser Rachid à aller au plus profond de son tunnel. Tout son corps, tous ses muscles criaient quelle prenait un immense plaisir à se faire tirer comme cela, en force.
Oh Olga, mon amour, que cest bon. Viens près de moi, jai besoin de tes caresses, de tes baisers. Approche que je fouille ta chatte, je suis certaine que tu es si excitée, que tu dois être trempée.
De son côté, Philippe nous caressait toutes les deux. Il était heureux, car nous franchissions une nouvelle étape dans ma transformation, une étape dont il naurait osé rêver il y a quelques mois encore. Et ce bonheur cest à son insistance que nous le devions.
Rachid faisait sortir totalement sa verge de la chatte de Christine en me la montrant au passage, puis la replongeait en force au fond du tunnel. Il recommençait ainsi jusquà ce que le corps de Christine se crispe. Il accélérait le mouvement de va-et-vient de lengin dans la chatte et, de sa ma main droite, tripotait le mamelon de lun des seins.
Jétais fascinée, excitée, jalouse en même temps. Jétais concentrée sur le spectacle que moffrait Rachid. Philippe sévertuait à soccuper de moi, à me caresser, à membrasser. Il me pénétra. Il bandait bien, particulièrement émoustillé par le spectacle, mais cela ne me faisait guère deffet.
Mon chéri, tu sais bien que depuis que je suis devenue la femme de Rachid, ta petite queue ne me fait vraiment plus deffet. Branle toi, jai envie que tu gicles sur moi quand Rachid aura fait jouir Christine. Je sais que tu aimes maculer mon visage, mes seins, mes cheveux.
Christine arrêta ses gémissements et sa respiration, poussa très fort ses fesses en arrière pour faire pénétrer le sexe au plus profond de ses entrailles et éclata dans un énorme râle de plaisir. Au même moment, Philippe menvoyait de puissantes giclées de sperme sur mon visage et mes seins.
Christine voulait que le plaisir quelle prenait continuât longtemps. Rachid continuait à la pilonner au même rythme. Il nallait pas tarder à éclater et à éjaculer. Il ne voulait pas éjaculer à lintérieur de sa chatte. Il voulait lui aussi le faire sur son visage et sa poitrine. Il voulait nous voir nous lécher.
Sentant arriver la délivrance, Rachid sortit le sexe du vagin de sa partenaire, la prit par la taille et la retourna sur le dos. Il se branlait fortement pour faire venir léjaculation. Celle-ci arriva, avec assez de force pour lui remplir également le visage, le cou et la poitrine. Nous étions lune et lautre couverte de sperme.
Christine me regardait avec les yeux remplis de bonheur et damour.
Viens, ma chérie ! me dit Christine
Je ne me fis pas priée pour prendre la place de Rachid dans les bras de Christine. Nous nous étalions avec les doigts le sperme que nous avions sur la poitrine, sur les seins et sur le cou. Cela se faisait avec une telle douceur que nous ronronnions de plaisir. Japprochais ma tête des seins de ma partenaire et sortit la langue pour lécher et avaler tout le sperme quelle ramassait. Je continuais longtemps à lécher la poitrine puis le cou, puis je mattaquais au sperme qui était sur son visage. Cette fois au lieu davaler elle-même le foutre, je le déposais dans la bouche de Christine qui sempressait de lengloutir. Nous continuèrent jusquà ce quil ny eut plus aucune trace de sperme sur nos corps et nos corps. Nous échangeâmes alors un long baiser amoureux.
Philippe et Rachid nous regardaient émerveillés, en train de se rouler des pelles de plus en plus torrides. Les mains de Christine semparaient de mes seins et les caressaient avec délicatesse. Je pris la main de ma maîtresse et la porta à ma bouche pour lembrasser. Nos deux corps se collaient lun à lautre et bougeaient en cadence. La jambe de Christine pénétra entre mes cuisses et elle caressa ma chatte avec son genou. Christine descendit entre mes jambes plongea sa tête entre mes cuisses. Sa bouche prenait une fois de plus possession de ma vulve. Je gémissais de plaisir et prit la tête de ma compagne pour laider à aller et venir sur ma chatte.
Cela faisait des heures que nous faisions lamour. Nous ne sentions pas la fatigue. Nous en voulions encore, encore et encore ! Je voyais mon mari et mon mâle nous mater, Philippe se branlait, Rachid bandait à nouveau. Je bougeais les hanches au rythme du cunnilingus que mappliquait Christine avec toute sa science du saphisme.
Cest beau, nest-ce pas, Rachid, dit Philippe à son complice.
Oui, ça fait bander. Mais je ne voudrai pas quOlga devienne gouine.
Pas de danger, tout à lheure tu lhonoreras. Jai hâte de la voire se faire baiser par toi. Je ne men lasse pas.
Tinquiète, je la baiserai tout à lheure, elle nattend que ça et je sais que toi aussi tu veux me voir posséder ta femme. Pour le moment, jai envie de casser le cul de Christine, je vais lenculer
Tu peux y aller, elle accueillera sans problèmes ton engin. Elle aime être sodomisée.
Rachid sapprocha et prit Christine par les hanches pour la positionner convenablement. Elle retira un moment sa tête dentre mes cuisses, me regarda et, en menvoyant un sourire éclatant, dit à Rachid:
Oui, occupe-toi de mon cul pendant que je moccupe de celui de ma petite chérie ! Je ne me suis jamais pris un tel calibre jusquà présent. Je suis plutôt habituée à ce soit des bites comme celles de Philippe qui passent par là. Mais je veux tout partager avec Olga. Viens me casser le cul !
Tu vas déguster ma Christine, lui dis-je, mais je sais que tu vas adorer. Quant à toi, Philippe, regarde bien, car ce sera bientôt ton tour !
Christine replongea aussitôt sa tête entre mes cuisses largement ouvertes. Je couinais, ressentant le maximum de plaisir. Rachid écartait les fesses de Christine pour avoir accès à lanneau de son anus. Il mit un peu de salive sur ses doigts pour en enduire lentrée du trou ; il en mit aussi sur le gland de son sexe. Il se positionna ce dernier sur lanneau, et dun coup de rein brusque, enfonça tout le membre jusquau fond.
Christine se crispa. Elle navait pas menti. Son cul avait servi, mais jamais navait accueilli un tel engin. Rachid nen navait cure. Son membre prenait possession de ce superbe cul. Il y allait franchement. Il tenait Christine par les hanches et faisait des allers-retours de plus en plus longs et de plus en plus rapides. Il faisait sortir lengin jusquà lentrée du cul et le faisait repartir en force jusquau fond.
A nouveau les gémissements des deux femmes allaient crescendo. Nous étions tous sur le point de jouir, moi sous la bouche et les mains de Christine.
Lorgasme arriva en même temps pour Christine et pour moi. Christine avalait avec délectation toute ma cyprine. Rachid se mit à éjaculer, en poussant un râle de mourant, une grosse quantité de sperme dans le cul de sa partenaire. Il continuait à la pilonner un long moment, expulsant par la même occasion le foutre hors du rectum. Quant à Philippe, je lui avais fait signe dapprocher, il avait bien mérité de se vider dans ma bouche. Nous étions tous fourbus.
La soirée sest terminée pour moi par une ultime saillie, celle que je voulais et attendais : Rachid ma possédée devant mon mari et ma maîtresse. Je voulais montrer que ce qui sétait passé, les sentiments forts qui munissaient maintenant à Christine, le plaisir que javais eu à ces ébats saphiques ne changeaient rien. Rachid était mon mâle, jétais à lui et javais toujours autant besoin dêtre saillie par lui. Je savais aussi que, comme chaque jour, Philippe avait, lui aussi, besoin de ce moment, au cours duquel notre complicité était immense. Rachid était impressionnant : malgré les ébats que nous venions de vivre, il retrouvait toute sa virilité. Il ne sembarrassait ni de tendresse, ni de préalables. Il me prenait en levrette, avec vigueur, ses couilles tapaient sur mes fesses. Cétait bestial, un mâle qui prenait sa femelle.
Philippe et Christine se tenaient par la main et mataient, fascinés :
Cest beau nest-ce pas, Christine ? Jai tant voulu ça, je ne men lasse pas.
Je nai jamais vu quelquun enchainer comme Olga les orgasmes. Elle est encore plus belle.
Oh Philippe, Christine, venez membrasser, me caresser. Je vous aime. Rachid, vas-y, mon amour, mets la moi bien au fond. Plus fort ! Oui, comme ça !!!!!!!!
Tu vas mépuiser, salope, tu mas excité toute laprès-midi. Prends ça. Quand je laurai décidé, je te féconderai en présence de ton cocu et de Christine.
Oh oui Rachid, je le veux. Viens, vide toi dans ma chatte, envoie moi toute ta sauce dans mon utérus. Oh mon Dieu, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Je tenais la main de Christine et de Philippe et je croyais les broyer. Philippe menvoya à nouveau de puissantes giclées sur mon visage et mes cheveux, alors que Rachid nen finissait pas de me remplir.
Mon mari et ma femme nen navaient pas finis avec moi, car ils se partagèrent le nettoyage de ma chatte. Rachid et Philippe me portèrent comme un bébé à la douche, jen avais besoin, pour effacer les traces de mes débauches. Je me laissais faire, chacun des trois, à son tour, me lava, mais je nétais plus en état de répondre à leurs caresses. Philippe et Christine changèrent les draps qui étaient souillés de nos excès, puis à leur tour prirent une douche, ensemble. Philippe trouva les ressources pour faire lamour à Christine. Celle-ci appela son mari Jean pour le rassurer, lui expliquer ce qui sétait passé, et quelle allait dormir là, dans notre grand lit. Elle ajouta :
Olga est désormais ma femme, elle est enfin à moi, mais ne tinquiète pas, jen ai parlé à Rachid, il te la mettra à disposition, pour toi et pour une belle partouze. Il faudra prévenir nos amis les plus chauds. La belle Olga T sera la vedette de notre prochaine soirée.
Jentendais quils disposaient de moi, sans me demander mon avis. Mais jétais décidée à poursuivre ma découverte de tous les plaisirs.
Je mendormais rapidement, brisée de fatigue, entourée de mon mari, de ma maitresse et de mon amant. Le grand lit que nous avions installé était malgré tout un peu juste pour 4. Nous nous sommes réveillés assez tard le lendemain matin. De façon significative, cest dans les bras de Philippe que je me suis réveillée. Je lai embrassé, lui disant « je taime » et, comme jaime le faire, pratiquant sur lui ma première fellation de la journée.
(à suivre)
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